Résumé-1

March 26, 2018 | Author: k3nshy | Category: Communication, Semiotics, Cybernetics, Human Communication, Cognitive Science


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LE PLAN DE LA THÈSEINTRODUCTION CHAPITRE I. Repères méthodologiques I.1. Méthodologie de constitution et fonctionnement du corpus d’étude I.2. Méthodologie d’analyse CHAPITRE II. Signe et communication II.1. Un univers de signes II.2. Du signe à la communication Conclusions partielles CHAPITRE III. La communication mass-média. Le discours télévisuel III.1 La communication mass-média III.1.1. Modèles de la communication médiatique III.1.2. Les composants de la communication médiatique III.1.3. Les fonctions de la communication médiatique III.1.3.1. La fonction informative III.1.3.2. La fonction interprétative III.1.3.3. La fonction relationnelle communicative III.1.3.4. La fonction culturel-éducative III.1.3.5. La fonction d’évasion et de divertissement III.1.3.6. La fonction publicitaire III.2. Le discours télévisuel – une perspective sémiotique III.2.1. L’information télévisuelle III.2.1.1. L’image télévisuelle III.2.1.2. Le texte-discours télévisuel III.3. Ré-dimensionnements du concept «contrat» et ses implications dans le débat culturel télévisuel III.3.1. Le concept contrat de communication 1 III.3.2. Le contrat médiatique III.3.3. Le contrat débat et le contrat débat médiatique III. 3.4. Le contrat débat télévisuel Conclusions partielles CHAPITRE IV. Interactions communicatives verbales IV.1. Déterminations conceptuelles (ou précis conceptuels ?) IV.2. Les études interactionistes – une approche diachronique IV.2.1. Les principaux courants interactionistes IV.2.1.1.L’approche psychologique et psychiatrique IV.2.1.2. L’approche sociologique et anthropologique IV.2.1.2.1. L’ethnométhodologie IV. 2.1.2.2. L’ethnographie de la communication et la sociolinguistique interactionnelle IV.2.1.2.2.1. L’ethnographie de la communication IV.2.1.2.2.2. La sociolinguistique interactionnelle de John J. Gumperz IV.2.1.2.2.3. La microsociologie de Goffman IV.2.1.3. L’approche philosophique IV.2.1.4. L’approche linguistique IV.3. Une typologie des interactions communicatives IV.4. Le dispositif conversationnel du débat culturel télévisuel IV.4.1. Les composants de l’interaction IV.4.1.1. Le cadre communicatif des débats culturels télévisuels IV.4.1.2. Le cadre participatif IV.4.1.2.1. Les protagonistes IV.4.1.2.1.1. Identités, rôles et attitudes IV.4.1.2.2. Les récepteurs IV.4.1.2.2.1. Le concept imaginaire télévisuel IV.5. L’organisation du débat au niveau macro-structurel IV.5.1. La cohérence thématique dans les débats culturels IV.5.2. La cohérence pragmatique : les séquences du débat 2 7.4.8.4. Délimitations conceptuels et traits définitoires V. Le rôle du dialogue interrogatif-informatif IV.2.3. Le ressort psycho-sociologique du vêtement V. La peoxémique – une dimension cachée de la communication V.2.4.2. Interactions communicatives non verbales V.6.3.1.5.3.1.7.3. La nouvelle rhétorique: le problème de la politesse IV.3.1. Structure de la communication non verbale V.4. L’alternance des prises des paroles IV.3. Les touchers cutanés V.3.1.1. La synergie verbale-mimo-gestuelle dans le débat culturel télévisuel V.2.2.1.IV.3.1.6.2.3.2.2.7. Implications évidentes et cachées du corps humain dans la communication V. La didacticité – un implicit de l’interactivité dans le débat culturel Conclusions partielles CHAPITRE V. Aspects de la construction des interactions au niveau micro-structurel IV. L’étude des émotions dans la linguistique des dernières décennies IV. Marques de la construction de la relation sur les axes horizontal et vertical IV.3.1.3.7. La fonction de régularisation V.7.7. La fonction de répétition V. Procédés discursifs et marques linguistiques dans l’expression des émotions IV.6. Le dévoilement de soi dans l’interaction IV. Négociations et ratés dans l’alternance des prises des paroles IV. Les gestes V.3. La fonction de substitution V. Formes des interactions communicatives non verbales dans le débat culturel V.6.2. Les yeux et le regards des interactants V.7. La fonction de contradiction des messages verbaux (cacher/dévoiler) V.2.6.5.1. La fonction de complétion V.1. L’expression du visage V.2.2. La fonction d’affermissement 3 . Dimensions affectives dans la construction des relations interpersonnelles IV. Conclusions partielles CONCLUSIONS FINALES INDEX TERMINOLOGIQUE BIBLIOGRAPHIE CORPUS D’ÉTUDE SOUS-CORPUS I.4.5.1.5.1. Cohérence pragmatique II.11. Le texte-discours télévisuel I. Interactions communicatives non verbales III. L’expression du visage III.3. Dévoilement de soi dans l’interaction II. Les gestes III.6.1.7.4. Les vêtements 4 . Identité discursive II. Alternance des prises de paroles II.6. Négociation et ratés dans l’alternance des prises des paroles II. La proxémique III.3.9. Le générique SOUS-CORPUS II.10.2. Cohérence sémantique II. Interactions communicatives verbales II. Les yeux et le regard des protagonistes III. Les touchers cutanés III. Procédées discursifs et marques linguistiques d’expression de l’émotion II.1.8. Marques linguistiques de la politesse II. Rôle interactionnelles II. Didacticité SOUS-CORPUS III. Dialogue interrogatif-informationnel II. 7. le choix et l’enregistrement des émisions de débat culturel télévisuel. l’arrangement du corpus en sous-corpus d’étude. Comme ce sujet ne peut pas être traité d’une seule perspective disciplinaire et on a besoin d’une aire d’investigation plus ample. On a retenu. Dans Méthodologie d’analyse on précise les méthodes exploitées dans notre recherche : la méthode inductive. Le deuxième chapitre. du système sémiotique de Saussure : ● la notion de signe linguistique compris comme une entité à deux faces : le signifié et le signifiant expression adéquate pour concept/image acoustique. la méthode de l’observation que nous appliquons à une analyse tranversale (l’étude d’un phénomène défini préalablement et rencontré dans les différents réalisations discursives du débat) et longitudinale (l’étude du débat dans son déroulement). Répères méthodologiques. Le premier chapitre. l’analyse du discours et la communication médiatique. la transcription des émissions. propose une incursion dans l’évolution des signes à partir des premières manifestations sémiotiques de la gestualité jusqu’aux mots. présente les étapes de constitution du corpus d’étude .III. notre ouvrage se trouve au carrefour de trois domaines d’analyse : la sémiotique. ainsi. Signe et communication. la méthode analogico-déductive. le façonnement de ces enregistrements et ces transcriptions et la sélection des échantillons qui servent au but de notre recherche. Une approche sémiolinguistique du discours télévisuel nous proposons une exploration sémio-linguistique du discours télévisuel de la perspective des interactions communicatives des débats culturels. UNE APPROCHE SÉMIO-LINGUISTIQUE DU DISCOURS TÉLÉVISUEL -résuméSous le titre Interactions communicatives dans le débat culturel. Synergie verbale-mimo-gestuelle INTERACTIONS COMMUNICATIVES DANS LE DÉBAT CULTUREL. après laquelle nous faisons remarquer les plus importantes théories du signe qui marquent les étapes que l’humanité a parcouru dans son évolution des signes vers la communication. 5 . linéarité. une couleur. des personnages et des objets sont mis en scène et ils construisent des relations directes et explicites ou indirectes et implicites. mais de la paralinguistique et les disciplines apparentées : la kinésique et la proxémique. qui a continué les reflexions de Saussure sur les signes. Ce parcours théorique nous a permis la présentation des aspects qui serviront à la compréhension de la communication de la perspective de la Sémiotique et de l’Analyse du discours. mais du plan du contenu et elles ne tiennent pas de l’analyse sémiologique. une forme. par le fait qu’il introduit les concepts de signes-énonce et signes-discours. à coté des concepts signes minimales représentés par les mots. sont : ● la sémiotique de Peirce s’inscrit dans une démarche englobant plus large.● la langue interprétée comme un système de signes à une structure d’unités élémentaires dans lequel chaque élément est lié à tout dont il appartient. dans laquelle l’analyse des aspects nonverbales. C’est par cela que nous avons voulu démontrer que le langage devient un moyen de représentation dans lequel. qui nous intéressent. pour lui il n’y a de signes possibles que dans la communication: Les critiques apportées au structuralisme linguistique ont orienté les reflexions sur les signes vers les sujets communicants et les relations interpersonnelles qui se construisent pendant la communication. ne font pas part du plan de l’expression. etc. ● les caractéristiques essentielles de signes : arbitrarité. la gestualité. l’intonation . double articulation. aspect très important pour l’étude des interactions communicatives qui constituent l’objet de notre recherche. 6 . ● les signes organisés dans des suites cohérentes (les syntagmes) et sélectionnés d’après un champ d’associations disponibles dans la mémoire (les paradigmes). un regard. un geste. une phrase. dans lequel le signe est une unité ternaire. Nous soutenons ces formulations de Hjemslev qui peuvent être considérées des tentatives d’analyse du discours. ● pour Peirce tout est signe : un mot. Pour Hjemslev. Nos raisons pour lesquelles nous nous situons sur la ligne sémiotique de Peirce. un texte. ● Peirce insiste sur la dimension sociale du signe. la paralinguistique. sont remis à une discipline différente.. le système sémiotique de Peirce se fait remarquer par son caractère logique et formel. Par rapport au système sémiotique du Saussure. Nous apprécions comme importante la contribution du linguiste danois L. Hjemslev. deux axes coordinateurs de notre recherche. la communication a lieu entre un émetteur et un récepteur passif et elle est représentée par les questions : qui? (émetteur). les conditions d’interprétation et la place d’élaboration du discours médiatique. ● la communication instaure un certain type de relations entre les sujets. nous avons fait remarquer trois orientations: a) On n’arrive jamais à communiquer. Le discours télévisuel crée le cadre théorique nécessaire à une analyse sémio-linguistique du discours télévisuel. l’ethnométodologie et l’interactionisme (Gumperz et Goffman). L’étude de la communication médiatisée a déterminé la création de plusieurs modèles dont nous présentons quatre d’entre eux qui représentent le mieux. La communication mass-média. comment? (le message). qui visent la perception des deux instances trouvées ici dans l’interaction : l’instance de production et l’instance de réception. entre les signes et ceux qui les utilisent. Par les contributions des sémioticiens Roland Barthes et Umberto Eco. Le troisième chapitre. b) Il est impossible de ne pas communiquer. l’ethnographie de la communication (Dell Hymes).Dans l’approche de la communication de la perspective de l’AD. les progrès réalisés dans le processus de compréhension de la communication médiatisée dans une perspective diacronique : a) Le modèle liniaire de la communication ● Selon le modèle liniaire de Harold D. ● à l’aide des signes. dans notre opinion. Nous avons relevé que la communication mass-média se manifeste comme un dispositif producteur d’information très complexe. La présentation de la communication de la perspective sémiotique a fait remarquer les aspects suivants : ● la communication détermine et organise les signes. avec quel effet?. la théorie du signe a été élargie et appliquée à l’analyse de la communication médiatique que nous traitons dans le chapitre suivant. entre les signes et ce qu’ils représentent. quoi? (le message). à qui? (le récepteur). Ce modèle 7 . à laquelle on a ajouté les théories qui ont contribué à l’affinage du concept de communication : la théorie des actes de langage (Austin et Searle). Lasswell. qui a trois pôles constitutifs : les conditions de production. c) Tout est communicable. la communication parle d’un monde dans un certain contexte. b) Modèles circulaires de la communication ● Le modèle concentrique de Ray Hiebert. le canal de diffusion et le public récepteur. en manifestant un va et vient entre l’émetteur et le récepteur. nous avons préparé les axes d’analyse du corpus du quatrième chapitre : les sujets communicants. d’un canal. un message. de telle sorte qu’elle doit être représentée par la forme dynamique d’un modèle circulaire. Ce modèle concentrique insiste sur la capacité du récepteur de sélectionner. un récepteur et un destinataire. ● Le modèle interactif de la communication résume le rôles du récepteur. Donald Ungurait et Thomas Bohn selon lequel la communication médiatisée implique en réalité une négociation et une transaction continue entre l’émetteur et le récepteur.a été critiqué parce qu’il limite la communication à un processus de persuasion qui ne tient pas compte du contexte. la fonction d’évasion et de divertissement et la fonction publicitaire. qui fait l’objet de notre recherche. un émetteur. L’analyse de l’information télévisuelle nous a permis l’introduction d’un concept nouveau dans le domaine de l’analyse sémio-linguistique : le texte-discours télévisuel que nous avons défini comme instrument socio-psycho-linguistique de production et de 8 . un canal. la communication implique l’existence d’un émetteur. avec l’éventualité d’un possible brouillage. qui par rétroaction devient à son tour un émetteur qui renvoie le message à l’émetteur initial. la fonction culturelle-éducative. il présente le destinataire comme une cible passive (en illustrant la conception autoritaire de l’acte de communication duquel le feed-back manque) et il ignore l’influence du contexte dans le processus de communication. d’un message. mais aussi une relation entre l’émetteur et le récepteur qui peut produire un certain type d’effet dans un contexte donné. la fonction relationnelle-communicative. interpréter et ré-interpréter les messages. Par la présentation des composants de la communication mass-média. Par l’approche des fonctions de la communication mass-média. la fonction interprétative. en omettant le feed-back et le vrai rôle du récepteur. ● Selon le modèle liniaire de Claude ElwoodShannon la communication est un processus liniaire déroulé en plusieurs étapes marquées par : une source d’information. nous avons voulu diriger notre attention vers le phénomène de la réception. Les études consacrées à la communication mass-média ont délimité les fonctions suivantes : la fonction informative. Ce modèle a été complété dans les années ’50 de telle manière que le rôle de feed-back devient décisif. d’un récepteur. La fonction interprétative et la fonction culturel-éducative sont pleinement manifestées dans le débat culturel télévisuel. Ce modèle ignore le contenu et la signification du message. le message transmis (le contenu). le déroulement de l’émission (l’ouverture de l’émission. nous continuons par la présentation en diacronie des principaux courants interactionistes : l’approche psychologique et psychiatrique. contrat débat médiatique et contrat débat télévisuel permet la compréhension du débat culturel comme un enchaînement de contrats et crée le cadre pour une analyse du débat culturel située à trois niveaux : situationnel. l’interview. contrat débat. l’axe temporel interne de la télévision et l’axe temporel du téléspectateur. Le cadre spatial est représenté par l’espace clos du studio dans lequel l’animateur contrôle le débat . envisage : les composants de base de l’interaction : le cadre communicatif (le cadre spatial. le cadre temporel. selon des règles mutuelles appliqués aux cadres communicatif et participatif. le dialogue. l’entretien. Le quatrième chapitre est consacré aux interactions verbales et il est structuré en trois sous-chapitres théoriques qui vont créer le cadre de l’analyse des paramètres de base qui définissent les interactions verbales du débat culturel télévisuel. l’approche philosophique (avec la théorie des actes de langage) et l’approche linguistique. le corps de l’émission. En partant de la définition du terme interaction. qui créent les conditions pour une communication empathique. le débat. la discussion. la finalité et l’espace physique. le but de l’interaction) et le cadre participatif (les participants au débat et les récepteurs). l’approche sociologique et anthropologique.structuration de l’information télévisuelle qui exploite la relation entre l’acte de production et l’acte de réception. communicatif et discursif que nous proposons dans le suivant chapitre. L’analyse du dispositif conversationnel du débat culturel télévisuel. il est négocié en permanence par les 9 . quant au cadre temporel. le cadre situationnel. La grille d’analyse du texte-discours télévisuel que nous proposons vise les éléments suivants : le générique. Le but de l’interaction occupe une place très importante dans le système global des débats. le dispositif conversationnel se caractérise par des relations consensuelles entre les sujets communicants. la clôture de l’émission). Les interlocuteurs se comportent synchroniquement. Une typologie des interactions communicatives présente les principaux types d’interactions : la conversation. Nous concluons que dans les débat culturels. Le texte-discours télévisuel du débat se déroule dans une spatialité et dans une temporalité concrètement définies. l’image. celui-ci est organisé autour de trois axes : l’axe temporel de la réalité transmise. L’approche du concept de contrat et ses différents niveaux d’analyse : contrat de communication. le titre. contrat médiatique. le corps du débat et la séquence de clôture. L’analyse des récepteurs du débat nous a permis l’introduction du concept d’imaginaire télévisuel. assure l’ouverture du canal. par laquelle les invités expliquent leur position à l’égard du thème visé. ils l’épuisent ou ils le considèrent inconvenant par un processus de négociation. que nous définissons comme un dépôt de représentations mentales qui structure au niveau de l’inconscient. c) le groupe des récepteurs téléspectateurs. qui ne participe pas directement au dialogue. b) le groupe des récepteurs représentés par le public de studio. Dans L’organisation des débats au niveau macro-structurel notre analyse porte sur la cohérence sémantique et la cohérence pragmatique des débats culturels. déterminée par le critère thématique est très importante. l’identité discursive. elle amorce l’échange verbal. l’imaginaire et l’affectivité du téléspectateur par son rapport au textediscours télévisuel engendrant une abondance de perceptions qui dépendent de la compétence encyclopédique du téléspectateur. mais à qui s’adresse le débat . La cohérence pragmatique se manifeste au niveau des séquences du débat : la séquence d’ouverture. une fonction émotionnelle car les invités se dévoilent au milieu du plateau et une fonction factitive parce que le débat suscite l’intérêt du public pour les personnalités et les événements de culture présentés. parce que les thèmes abordés représentent le ressort principal des mécanismes des interactions des débats culturels. La perspective médiatique et discursive sur les sujets communicateurs fait remarquer la manifestation de l’identité sociale. l’identité médiatique avec leurs rôles et leurs attitudes spécifiques. Les thèmes abordés évoluent pendant le débat de ceux généraux et impersonnels vers ceux privés et personnels. La cohérence sémantique. La séquence d’ouverture a une fonction phatique prononcée. donne le ton de l’interaction et réalise une première définition de la situation. une fonction explicative. Quant aux récepteurs il y a trois groupes : a) les participants validés qui font partie du groupe conversationnel et ils sont représentés alternativement par l’animateur et ses invités . 10 . La cohérence thématique s’établit par le processus de coopération des interlocuteurs qui introduisent et ratifient un thème nouveau.interlocuteurs et il mobilise différents types de fonctions : une fonction informative par laquelle le modérateur met en circulation des idées et des discours intéressant des personnalités culturelles. établit le contact physique et psychologique des participants. par la nature de son genre médiatique. ayant le rôle de briser la glace. la transition d’un thème à l’autre. Par la rétrospective sur la linguistique des dernières décennies que nous proposons au debut du souschapitre Dimensions de l’affectif dans le texte-discours du débat nous soulignons la place occupée par les émotions dans les études de linguistique des dernières années et notre position par rapport à ce sujet.et microstructurel. est subordonné à la dimension affective par le fait qu’il a la fonction de garder le caractère consensuel et harmonieux des relations entre les interlocuteurs du débat culturel : la politesse signifie tenir compte de l’autre. Nous remarquons le fait que les marques d’oralité posent leur empreinte sur la manière de parler de l’animateur et de ses invités. Le débat culturel. nous considérons que le problème de la politesse (qui ne tient pas du contenu informationnel transmis. le plus important étant ici la corrélation des thèmes choisis dans le débat. le débat culturel se manifeste comme une expérience pendant laquelle les sujets communicants affirment la structure psycho-sociale de leur vie et de leurs sentiments. de différentes longueurs. la personnalité des invités et le profil du débat. leur enchaînement. qui expriment leur attitude vis-à-vis de ce qu’ils disent et vis-à-vis de leur interlocuteur. L’interrogation totale est mieux représentée dans l’émission Profesioniştii. par le contenu thématique et la personnalité des invités se construit plutôt par des questions partielles que par des questions totales. Étant donné le caractère oral de notre corpus d’étude. mais de la relation interpersonnelle). les voeux de bienvenue et les manifestations de cordialité. Cette séquence est fortement marquée par le style de l’animateur. avoir le sentiment d’une responsabilité face à son interlocuteur pendant l’interaction.Dans cette séquence ont lieu plusieurs négociations sur l’identité des sujets communicateurs. C’est pourquoi. La fréquence des questions totales donne à cette 11 . nous focalisons notre perspective d’investigation sur le dialogue interrogatif-informatif pour mettre en évidence les mécanismes et les stratégies de dévoilement de soi du sujet communicateur. À cette séquence correspondent des actes et des échanges verbaux à une fonction euphorisante comme : les rituels confirmatifs de salut. La séquence de clôture est une séquence privée d’intérêt pour les sujets communicants. Le corps du débat se découpe en plusieurs séquences monologales ou dialogales. où le dialogue encourage un échange plus intense de répliques dans lequel l’animateur se propose d’épuiser certaines informations sur l’invité. car elle vient après que les objectifs du débat ont déjà été accomplis. Au-delà de l’organisation du texte-discours conversationnel au niveau macro. où les invités possèdent des connaissances qu’ils souhaitent partager avec les autres. qui indiquent des objets du monde réel ou d’un espace imaginaire et les gestes métaphoriques qui créent une image envoyant toujours à un objet abstract. Les gestes des mains sont les plus fréquents et les plus nuancés pendant le débat culturel. La nature du discours qui se construit par la prestation linguistique de ces deux interlocuteurs impose le maintien d’une certaine distance et l’adoption d’une certaine position . Nous considérons la didacticité comme implicite du débat culturel parce que le rôle de ces émissions est de mettre en circulation les discours des personnalités culturelles. qui représente le lieu privilégié de manifestation de l’émotion. 12 . Ce sont fréquemment les gestes déictiques. les adapteurs étant des activités manipulatoires stéréotypes ayant le rôle de soulager et d’équilibrer le psychique du locuteur. l’émission devenant un lieu où on transmet des informations. Le regard occupe une place essentielle dans le déroulement de l’interaction en accomplissant la fonction de régulariser le flux communicationnel. les gestes réalisés par les différentes parties du corps sont peu nombreux. Les deux premiers souschapitres présentent les concepts et décrivent les traits définitoires de la communication non verbale. Par rapport à ceux-ci. Plus significative est l’expression du visage. d’assurer le feed-back. dans l’émission Profesioniştii la position face à face encourage un échange plus intense de répliques (constatation aussi à la suite de l’analyse des dialogues interrogatifs-informatifs du chapitre antérieur). que nous appliquons dans l’analyse des formes de manifestation du non verbal et de la synergie du verbal-mimo-gestuel du corpus.émission une allure plus disciplinée où les interlocuteurs coopérent dans la structuration de l’échange verbal et à l’élaboration d’un produit médiatique d’après un plan rigoureusement élaboré. ainsi. le sourire ayant le rôle de maintenir le cours de l’interaction ou l’attention du partenaire communicationnel. cette catégorie gestuelle offre en synergie avec le verbal des indices sur l’état émotionnel du locuteur. La proxémique a une grande importance dans la construction du dialogue et l’établissement des relations interpersonnelles. Bien que les touchers cutanés soient très peu nombreux. d’exprimer les émotions ou d’indiquer la nature des relations interpersonnelles. pendant que dans les autres émissions la position à 45° crée le cadre le plus adéquat au déroulement d’une conversation consensuelle. L’analyse des interactions communicatives nonverbales du cinquième chapitre viennent compléter l’analyse des interactions verbales du chapitre antérieur. La synergie verbale-mimo-gestuelle démontre que les interactions communicatives non verbales ont un rôle pragmatique essentiel : elles peuvent communiquer implicitement quelque chose sur l’identité du locuteur. il focalise l’attention autour de quelques composants du message verbal par la fonction d’affermissement. sociales.Rapportée aux possibilités de l’expression du corps et du visage. il ajoute un supplément à l’expression verbale par la fonction de complétion. Ils présentent des formes vestimentaires qui se soumettent aux motivations morales. L’index terminologique contient la liste en ordre alphabétique des notions utilisées dans notre thèse et leurs définitions et offre un outil de référence très utile pour notre ouvrage. psychologiques ou institutionnelles. il construit l’ironie ou l’humour par la fonction de contradiction. esthétiques. Le non verbal facilite l’accès vers une meilleure compréhension par la fonction de répétition. les vêtements permettent aux protagonistes du débat de s’imposer comme des êtres générateurs de spectacle de telle sorte que le public récepteur les apprécie en tant que présence visuelle. 13 . il négocie l’échange des rôles par la fonction de régularisation. communicationnelles. 5) COŞERIU. Philippide. Ed. n° 478-480. 12) MARTINET.. Cours de linguistique générale. 1967. Jean-Louis. 1999. Patrick. 2008. Sorin. Bucureşti. 1975. Dominique.. Fundaţiei România de mâine. Gallimard. Elemente de filozofia limbii. Jacques. Ştiinţifică. 1967. 7) COŞERIU. ● Lingvistică textuală 16) ADAM.. 10) JAKOBSON. 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