La valeur et répartitionè Pour les classiques : Valeur : Les Classiques n’ont pas lié la problématique de la valeur à celle de la répartition. Selon Adam Smith la division du travail est la base de la réalisation de la production, c’est la spécialisation de la production, l’homme va échanger tous ce qui excède sa production avec ce qu’il ne produit pas, à ce niveau les Classiques vont poser des questions : Pour quelle base on va faire l’échange ? Comment mesurer la valeur ? Pour les Classiques, tout bien à deux valeurs : +Valeur d’usage : c’est l’utilité d’un bien, c’est la condition de la valeur d’échange. Pour qu’un bien ait une valeur, il faut qu’il soit utile. +Valeur d’échange : C’est la quantité du travail nécessaire à la production d’un bien. Répartition : Au niveau de la répartition nous avons 3 classes sociales : Les capitalistes, les travailleurs et les propriétaires fonciers, qui vont se partager la richesse nationale entre elles et ils ne raisonnent pas en termes d’individus et en termes macroéconomiques, chaque classe va prendre une part : les capitalistes (profit), les travailleurs (salaire) et les propriétaires fonciers (rente). è Pour Marx : Valeur et répartition : ni de lutte sociale. La répartition n’est pas une problématique sociale mais d’ordre technique. par exemple 1h d’ingénieur = 4h d’un ouvrier. Marx a lié les 2 problématiques de valeur et répartition. mais Marx va aller plus loin. le salaire est le prix de la force de travail. Pour les Classiques on parle de la classe sociale alors que pour les néoclassiques on parle de facteurs de production. La valeur chez les Classiques est déterminée par la quantité de travail nécessaire à la production. . Marx utiliser la valeur pour l’exploitation de la répartition. Chaque fonction reçoit ce qu’elle mérite en fonction de sa productivité et dans ce cas il n’y a pas d’exploitation ni d’antagonisme de classe. la même chose pour Marx mais la seule différence c’est que Marx parle du travail socialement nécessaire. La différence entre la valeur créée et payée c’est la plus-value pour Marx. c’est pour ça qu’ils ont inventé la microéconomie. c'est-à-dire le travail de l’ouvrier moyen. p=f (w. Pour produire. ces 2 écoles adoptent la théorie de la valeur travail comme source de valeur. donc ils méritent d’avoir un prix. (Force de travail=valeur d’utilité). La production est la fonction des 2 facteurs. è Pour les néoclassiques : Valeur et répartition : L’utilité c’est le fondement de la valeur. et les 2 sont utiles.Au contraire. k). puisque les 2 sont utiles et nécessaires. Chaque facteur de production reçoit l’équilibre de sa productivité marginale. le travail et le capital. on a besoin de 2 facteurs. c’est l’élément technique qui les intéresse. au lieu de consommer immédiatement. Quand on investi sur le long terme. les néoclassiques le justifieront à 2 éléments : Profit=Prix et Temps et Prix de Risque. ils ont le droit à une rente quelque soit la nature de la terre. En ce qui concerne le profit. il y a un risque. RA=RN-(PROFIT+S). c’est aléatoire et il est légitime que celui-ci soit payé. . ainsi l’attente doit être payée puisque l’individu préfère le présent à l’avenir. va lancer sa production sur le long terme. +Ricardo va parler de la rente différentielle qui résulte de la différence de fertilité entre les terres. PROFIT : Dans la pensée Classique. Profit=RN-(S+R). Elle se base sur 2 lois : loi de population de Malthus et loi de rendement (croissance et décroissance). L’entrepreneur qui. le profit constitue le revenu résiduel c'est-à-dire ce qui reste après la distribution des 2 revenus. on parle de la rente absolue c'est-à-dire aux propriétaires fonciers. RENTE : Il y a 2 conceptions dans la rente : +Chez Adam Smith : intervenu dans une époque où il y a l’importance de l’agriculture. Le problème des débouchés ne se pose pas puisqu’on peut démontrer que dans les hypothèses de la concurrence pure et parfaite. que tout produit terminé crée des débouchés pour d’autres produits. cette loi de Say ne veut toutefois pas dire que tout produit trouve nécessairement une demande ou comme l’a interprété « tout offre crée sa propre demande ». ses producteurs cesseront de le produire et s’orienteront vers d’autres productions. Pour les néoclassiques c’est la flexibilité des salaires qui permet d’atteindre le plein emploi. chaque fois qu’une production augmente son activité. si un produit ne trouve pas de preneur. il crée en même temps de nouveaux débouchés pour ses fournisseurs. Jean Baptiste Say pense. puisque leur époque est encore dominée par la pénurie. crée de nouveaux salaires pour ses employés. Il peut avoir à chaque instant une surproduction générale et durable. En d’autre terme. Léon Walras va montrer que les équilibres des différents marchés s’accompagnent d’un équilibre général entre l’offre et la demande. les comportements individualisés du consommateur et du producteur sont coupés de tout contexte social et historique. on doit faire confiance au marché qui va régulariser la situation de déséquilibre donc la loi de l’offre et de la demande équilibre tout déséquilibre quel qu’il soit en pénurie ou en surproduction. en principe. La réflexion Classique se fonde sur la régularisation de tous les problèmes à travers le marché => équilibre automatique c'est-à-dire on n’a pas besoin de l’Etat. il crée un surcroit d’activité pour ses distributeurs. .LA POLITIQUE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE La problématique des Classiques est principalement celle de la formation des richesses. de plus. l’équilibre des marchés est automatique. ils postulent implicitement que tout produit répond à un besoin. Leur analyse est donc centrée sur la production et l’offre. ainsi la régularisation conjoncturelle pose problème d’où la nécessité de l’intervention de l’Etat par 2 actions. « L’analyse de Keynes » est une analyse à court terme qui énonce le principe de la demande effective. La pensée Keynésienne emprunte le chemin déjà tracé de Malthus et Jean de Sismondi qui ont évoqué l’idée d’une priorité de la demande sur l’offre contrairement à la loi de Say à l’origine du circuit. La décision est prise en comparant les coûts et les recettes anticipées. .L’approche fondamentalement microéconomique s’inscrit dans un programme de richesse ayant pour objectif de construire une théorie générale. il est clair que des décalages durables entre l’offre et la demande de produits entraineront des ajustements structurels. l’échange peut avoir lieu. Cette présentation montre bien qu’il s’agit d’une analyse de circuit et non pas du marché. une sur la consommation et l’autre sur l’investissement. L’équilibre ou optimum des producteurs correspond à l’égalité entre le taux marginal de substitution technique et le rapport des prix des facteurs de production. Les prix ne sont pas directement le résultat de confrontation de l’offre et la demande des produits et services. il n’y a pas d’équilibre automatique encore moins monétaire. La réalisation de l’équilibre suppose la présence d’un intermédiaire qui centralise les offres et les demandes individuelles et qui conduit le processus de tâtonnement vers l’équilibre une fois les prix fixés. Même si pour Keynes. il faut alors voir comment cette production rencontre de la demande résultant des comportements d’agents. il n’y a donc aucune raison pour que le niveau de production touche au plein emploi de la main d’œuvre. c’est ce qu’on appelle la politique de la demande. il y a des producteurs qui vont décider de leur niveau d’activité. peut être insuffisant pour absorber l’offre qui serait rentable. la priorité est bien celle de la demande particulière. Les fonds d’offre et de demandes individuelles sont formés à partir des prix imposés par le marché mais ces prix sont eux-mêmes le résultat de la confrontation de l’offre et de la demande de tous les producteurs et tous les consommateurs. à long terme. Adam Smith et David Ricardo sont les défenseurs d’une distinction fondamentale entre valeur d’usage (l’utilité d’un produit est préalable à sa production économique) et valeur d’échange (faculté d’une marchandise à être échangée contre une autre marchandise dont la mesure va être le coût du travail). qui est le travail et ils ont distingués 3 classes rémunérées par 3 types de revenus. Chez les Classiques. Les rentes foncières : C’est le revenu des propriétaires fonciers. Salaire courant (SC) : Déterminé par le jeu de l’offre et de la demande sur le marché. il assure le panier de premières nécessités. Les Classiques vont utiliser la classe sociale pour expliquer cette problématique de la valeur. èSalaire : C’est la rémunération des travailleurs. si le salaire s’écarte de son niveau naturel. Le fils d’un travailleur devient lui-même un travailleur. la rente est attribuée à 2 conceptions : . le SN et le SC ont tendance à se rapprocher. il est déterminé par le minimum vital. c’est un salaire de subsistance. et inversement. la théorie du salaire s’établit au niveau nécessaire pour assurer la survie du travailleur. les variations démographiques engendrées vont le ramener vers un niveau. Un salaire plus élevé permet d’élever plus d’enfants qui viennent encombrer le marché du travail et donc baisser le salaire. qui lui permet de vivre et de se reproduire.LE SALAIRE La pensée Classique a considérablement contribué au développement de la science économique au niveau de la théorie de la valeur et de la répartition des revenus et au niveau de la croissance économique. les Classiques distinguent entre 2 types de salaire : Salaire naturel (SN) : C’est celui qui permet d’assurer le minimum vital du travailleur. en d’autre terme. à savoir la valeur de travail. Les propriétaires fonciers ont le droit à une rente absolue. èProfit : Dans la pensée Classique. est la . PROFIT=RN-(S+RENTE). seule la force de travail est créatrice de la valeur. c'est-à-dire ce qui reste après la distribution des 2 revenus. Dans la pensée Classique. la seule classe sociale. le profit constitue le revenu résiduel. mais contrairement aux Classiques. dont le revenu est légitime. ne sont pas cultivées en même temps mais progressivement. le profit constitue le revenu résiduel. c’est ce qui va mener l’économie vers l’Etat stationnaire où il n’y a pas de croissance (crise).Adam Smith : Pour lui chaque propriétaire foncier a le droit à une partie du revenu national sous forme d’une rente (c’est ce qui reste une fois payé les salaires et les profits) quelque soit la nature de la terre (fertile ou pas). David Ricardo : D’après lui. d’abords les meilleurs puis les autres. les propriétaires fonciers n’ont pas directement le droit à la rente « Ce sont des parasites qui vivent au détriment des autres ». c’est le revenu des propriétaires fonciers. donc pour lui. Une augmentation de la population permet de cultiver des terres hors les moins en moins fertiles. Pour lui toutes les terres n’ayant pas la même fertilité. cependant avec une rente élevée. à ce niveau la rente est élevée pour les premiers fonciers et moins élevée pour les deuxièmes et de moins en moins élevée pour les autres. le profit a tendance de diminution de la croissance. Marx : La pensée Classique de Ricardo était le point de départ de Marx. classe prolétaire. et le reste c’est la plus value. Les néoclassiques rejettent la force de travail et disent que tout dépend de l’utilité et de la rareté. les 2 facteurs de production doivent se combiner pour avoir un bien de la productivité marginale de chaque facteur qui détermine la rémunération. La classe capitaliste exploite la force de travail des prolétaires par ce qu’elle détient les moyens de production donc le système capitaliste est un système d’exploitation. Contrairement aux Classiques et aux Marxistes. Le travail créé est celui reçu et incorporé dans les biens. il n’y a pas de rapport social comme le prévoit Marx. K). cette force de travail est particulière car elle est capable de produire plus de ce qu’elle reçoit. Le capital est l’ensemble des techniques. point de vue légitime. ce qui renvoi au chômage. les néoclassiques ne vont pas analyser la répartition du revenu du point de vue des classes sociales mais du point de vue des facteurs de production (le travail et le capital) P=f (L. il est fondé sur l’extraction de la classe ouvrière. L’homme a donc le choix de travailler ou pas. . LA CRISE Pour les Classiques. Pour Ricardo. le système de ces derniers. Etat qui peut être freiné par le progrès technique. ce qui va nous amener à un air de la source de la plus value. Le résultat de cette inflation. il n’y a pas de solution pour ces crises qu’avec l’effondrement du système Keynésien et le passage à un autre. est de rendre nécessaire une hausse des salaires afin d’assurer la survie des ces derniers. ce qui va engendrer une crise de sur accumulation. Ainsi la croissance démographique provoquera nécessairement un écrasement des profits par la rente et par conséquent. Pour Marx. Ricardo rejoint donc le point de vue de Malthus et critique les aides sociales accordées aux indigents qui créent la pauvreté sur le long terme en favorisant des naissances non souhaitées. les profits et la rente. . ce déséquilibre aboutira à une crise qui entrainera l’effondrement des Keynésiens. l’une provoque l’autre. Pour Marx. la crise entre la production et la consommation donne lieu à une crise de surproduction provisoire (conjoncturelle) ce qui se traduit par un déséquilibre entre l’offre et la demande. ensuite la crise social. ce qui entrainera la fin du système Keynésien. étant basé sur des contradictions. la fin de l’investissement productif. que subissent des travailleurs déjà dans la misère. ce que Ricardo appel « l’Etat stationnaire » de l’économie. fait que le créateur de valeur n’a pas les moyens pour consommer cette valeur. ainsi les Keynésiens vont engager un capital fixe ce qui va causer l’augmentation de la productivité et du chômage. La richesse se répartit entre 3 composantes que sont les salaires. Ces crises sont liées entre elles. Cette crise engendre une concurrence. la crise existait déjà et se manifestait dans l’augmentation et la croissance de la population. l’évolution de la population même inévitablement à la hausse du prix des subsistances et à celle de la rente foncière. Pour Keynes. et de verser les allocations. Pour la demande privée.Pour les Néoclassiques : Sous forme de surproduction. et dépend aussi de la productivité marginale à consommer. allocations familiales). l’Etat doit devenir un investisseur pour développer la demande qui est la véritable clé pour sortir de la crise. de la croissance. . Pour les Keynésiens la demande occupe une place importante dans l’explication de la crise. de l’épargne. le déséquilibre dans le système néoclassique ne peut exister que si les conditions de concurrence pure et parfaite ne sont pas respectées. Keynes constate qu’on ne doit pas faire confiance aux lois du marché. l’équilibre n’est pas automatique et c’est pour ça qu’il va développer la théorie de l’offre et de la demande. du revenu. c'est-à-dire des transferts sociaux (Retraite. donc les prix baissent mais l’équilibre n’est pas établi. et par la suite une baisse de la demande et de consommation ce qui va aggraver la surproduction. Pour rétablir l’équilibre. par opposition à la théorie de l’offre des Classiques et Néoclassiques. C=f (Rd. il y a une demande privée et publique. politique de crédit) et distribuer les revenus afin d’augmenter la consommation. Pour la demande publique. pour se retrouver face à l’inflation. La consommation dépend du revenu disponible qui est égale au revenu global moins les prélèvements plus tous les avantages. on distingue la consommation et l’investissement privé. il faut réduire l’intervention inappropriée de l’Etat et de favoriser le libre jeu de la concurrence. et cela en devenant lui-même un investisseur et encourager les entreprises à augmenter leurs investissements (Subventions. et une diminution de l’emploi avec une diminution du revenu. Pour Keynes la crise des années 30 est une crise de surproduction où l’offre est supérieur à la demande. donc on va avoir un arrêt de la production. c’est une véritable clé. C). Keynes voit également qu’une diminution de la demande signifie une diminution de l’investissement. Keynes a développé une politique de demande mais selon l’école contemporaine cela va générer des dépenses publiques considérables comme l’emprunt et la création monétaire. et ces 2 dépenses sont responsables de l’inflation d’où : dépense de l’Etat supérieur aux ressources de l’Etat. ce qui donne un déficit budgétaire. ce qui va entrainer une diminution de crédits par une politique restrictive de crédit en augmentant le taux d’intérêt. Le courant Néolibéral : La crise est une période où se trouvent l’inflation. la flexibilité du marché de travail favorable à un salaire. il y a 2 formes principales à travers la politique monétaire et la politique de l’offre : La politique monétaire : Pour lutter contre l’inflation. . Comment développer l’offre de l’entreprise ? =>Par la fiscalité avec la diminution des impôts et des subventions. il faut voir l’origine de cette dernière et puisque l’excès de monnaie favorise l’inflation. =>La dérèglementation : La privatisation. le chômage massif. =>Encourager l’épargne.Pour l’école contemporaine : Pour sortir de la crise des années 30. la surproduction et la baisse du pouvoir d’achat. pour se faire. il faut réduire cet excès par une politique monétaire respective et ainsi réduire la masse monétaire ce qui va réduire les dépenses de l’Etat et donc réduire son rôle. La politique de l’offre : tout ce qui va favoriser l’entreprise est une politique de l’offre. c’est l’inflation qui doit être la priorité de la politique économique car elle bloque toute activité économique. Donc la monnaie est active et affecte l’équilibre. elle joue un rôle pour faciliter l’échange. En effet. lorsque je vends et je n’achète pas. Cette conception de la monnaie est un voile qui cache le véritable échange.V=P. ce qui va entrainer une diminution de la monnaie en circulation ce qui va automatiquement provoquer des crises. la monnaie pour Marx n’est pas neutre car c’est un moyen d’exploitation. l’équilibre va se réaliser grâce à la loi des débouchés de J.B. les capitalistes utilisent la monnaie pour acheter les moyens de production et la force de travail afin d’acquérir un capital et donc les capitalistes exploitent les prolétaires. il y aura un déficit passager c'est-à-dire que la monnaie est neutre et n’affecte pas l’équilibre. Say « Chaque offreur est en même temps un demandeur ». èPOUR LES NEOCLASSIQUES : Ils vont reprendre la théorie des Classiques mais par une simple reprise ils vont utiliser les mathématiques pour aboutir à une analyse plus rigoureuse : M. il y a une accumulation de la monnaie. La monnaie est aussi un facteur de crise car si on vend et on n’achète pas.Q M : La masse monétaire.LA MONNAIE èPOUR LES CLASSIQUES : L’équilibre pour les Classiques est atteint lorsque l’offre général est égal à la demande générale. mais il n’est pas permanant car ils ont accepté l’idée qu’il y a un déséquilibre provisoire et temporel qui est dépassé par le simple jeu de loi de marché avec le raisonnement sur le long terme donc tôt ou tard. èPOUR MARX : Contrairement aux Classiques. . Q : Montant des transactions. èPOUR LES KEYNESIENS : Au niveau de Keynes. d’investissement et d’emploi. Pour lui. donc une inflation avec la concurrence pure et parfaite. . P : Le niveau général des prix. donc la monnaie joue un rôle fondamental et agit sur des phénomènes réels. ne peut affecter l’équilibre et ne peut provoquer les crises. Toute variation de la monnaie va engendrer une variation proportionnelle et immédiate de prix. donc il en découle que la monnaie est active et peut provoquer des déséquilibres. l’économie du marché. neutre. la principale monnaie est l’or. le raisonnement des Classiques est faux car il a une référence à la liquidité et donc à la monnaie pour elle-même et donc ça va engendrer un déséquilibre au niveau de la production. La monnaie est passive. l’équilibre sera réalisé automatiquement à tous les marchés. V : Vitesse de circulation de la monnaie.